La fitrana est un don charitable de nourriture qui doit être donné avant la prière de l’Aïd, avant la fin du mois de Ramadan, pour le plaisir d’Allah (swt). La fitrana doit aussi être donnée par chaque musulman adulte autosuffisant qui a de la nourriture excédant leurs besoins, de leur part ainsi que des personnes qui leur sont dépendentes.
Ibn ‘Abbas (qu’Allah l’agrée) rapporte:
« Le Messager d’Allah (paix et bénédiction sur lui) a prescrit l’aumône de la rupture. C’est une purification pour le jeûneur des paroles fausses et des propos honteux et c’est une nourriture pour les pauvres. Quiconque la verse avant la prière alors c’est une zakat acceptée. Et quiconque la verse après la prière alors c’est une aumône parmi les aumônes »
[Abu Dawud and Ibn Majah]
La quantité est prescrite par le prophète (saws) comme étant un sa’ de nourriture; un sa’ équivaut à quatre madd. Un madd est la quantité qui peut être prise lorsqu’on met nos mains ensemble. Si nous traduisons cela en une valeur monétaire selon le prix d’un aliment de base tel que de la farine ou du riz, cela correspond à environ 10$. Par conséquent, le montant dû est de 10$ par personne.
Puis qu’Islamic Relief agit comme un agent charitable, nous pouvons recevoir le don en argent afin de payer la nourriture à l’avance, que nous dépenserons ensuite où et quand le besoin se présente afin d’acheter des produits alimentaires. Ce sera distribué parmi les personnes démunies à travers le monde.
La fitrana (zakat al-fitr) est une obligation pour tout musulman qui possède un sa’* de nourriture qui n’est pas une nécessité de base pour lui-même ou sa famille pour la durée d’un jour et d’une nuit.
*La quantité est décrite par le prophète (saws) comme étant un sa’ de nourriture. Un sa’ équivaut à quatre madd. Un madd est la quantité qui peut être prise lorsqu’on met nos mains ensemble.
« Le Messager d’Allah (paix et bénédiction sur lui) a prescrit l’aumône de la rupture. C’est une purification pour le jeûneur des paroles fausses et des propos honteux et c’est une nourriture pour les pauvres. Quiconque la verse avant la prière alors c’est une zakat acceptée. Et quiconque la verse après la prière alors c’est une aumône parmi les aumônes. » [Abu Dawud and Ibn Majah]
Au temps du prophète (saws), la fitrana (zakat ul-fitr) était donné comme un sa’. La quantité est prescrite par le prophète (saws) comme étant un sa’ de nourriture; un sa’ équivaut à quatre madd.
Un madd est la quantité qui peut être prise lorsqu’on met nos mains ensemble.
Si nous traduisons cela en une valeur monétaire selon le prix d’un aliment de base tel que de la farine ou du riz, cela correspond à environ 10$. Par conséquent, le montant dû est de 10$ par personne.
La fitrana (zakat ul-fitr) doit être payée durant le mois de Ramadan, au plus tard juste avant le début de la prière de l’Aïd afin que les démunis puissent en bénéficier à temps pour l’Aïd.
Ibn ‘Abbas dit:
Tout musulman qui possède un excédant de nourriture doit payer la zakat ul-fitr (fitrana).
Contrairement à la zakat, elle est une obligation pour chaque personne de votre famille. Par conséquent, le chef de famille, ou les parents et gardiens, peuvent payer de la part des autres membres de la famille.
Il est obligatoire pour chaque membre d’une famille, y compris les enfants et les bébés, de payer la zakat ul-fitr (fitrana). Cependant, les parents/gardiens peuvent payer de la part de leurs enfants ou des personnes qui leur sont dépendantes.
La majorité des savants sont d’avis que seules les deux premières catégories des récipients de la zakat peuvent recevoir la fitrana.
Une des conditions de la fitrana (zakat ul-fitr) est qu’elle doit être payée avant la prière de l’Aïd. Si elle est payée après, elle sera traitée comme une sadaqa, donc la récompense sera moindre.
Un agent est quelqu’un qui facilite votre paiement de la fitrana (zakat ul-fitr) car ils sont en meilleure position pour la distribuer. Vous pouvez les payer en argent car c’est comme si vous leur demandiez de payer à votre place. Nous utilisons cet argent pour acheter la nourriture que nous donnons aux bénéficiaires appropriés, donc c’est comme si vous donniez de la nourriture plutôt que de l’argent.
Oui vous pouvez, selon le madhab hanafi. Le madhab shafi’i suit également cette position.
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